avenir au présent : par tous
médias, intermédiaire
Eprouver de l'empathie par-devers toute expérience
positive, éprouvée, terminée : des maux du passé prévenir le retour; par-delà
le quotidien, envisager l'avenir le meilleur parmi tous les probables; imaginer
le futur, mais craindre l'illusion et fuir l'utopie.
Herostrate
Abolir, ou réprimer encore ?
par Herostrate
@ 2007-08-10
Abolir une "source
de profit réelle" ?!
Note liminaire importante :
à la suite des diverses réparties, enregistrées dans le fil de la présente
conversation, et partant des réactions parfois fort différentes que suscite le
problème soulevé, l'auteur de l'article vient d'y adjoindre des renvois par
notes de bas-de-page, renvois se limitant en fait à des liens hypertexte.
Du problème et de ses conditions d'existence, ainsi que de son traitement
actuel et des conséquences plus ou moins proches, on pourra se faire de la
sorte une idée plus exacte.
Source de profit réelle de la "net-economy" http://miroirsanstain.canalblog.com/archives/2007/07/30/2900659.html
http://www.polemia.com/create_pdf/index.php?cat_id=32&iddoc=629
Pour
l' abolition
Proposition du concept de pédabolition, ou
abolition
de la *p é d o p h i l i e* :
en tous lieux et à tous moments où urgence
politicomédiatique et pression sociale
[confer: Internet,
le scandale: un "coup d'essai" http://transculturel.spaces.live.com/blog/cns!2F652F595CA891AF!302.entry]
ne retiennent a posteriori que répression, enquêtes psychomédicales et
contraintes judiciaires applicables de manière aléatoire.
La pratique
abolitionniste présuppose une vigilance constante et
permanente fondée sur la compréhension fondamentale des ressorts psychiques et
sociologiques profonds du phénomène radicalement prévalent qu'est la *p é d o p
h i l i e* parmi les cultures à l'échelle globale dans une perspective
anthropologique et par-delà les traditions locales ou nationales.
Dans la plupart
des pays développés, les proxénètes sont poursuivis à
l'exception des prostitué(e)s(1), lesquel(le)s sont considéré(e)s comme leurs
victimes et comme tel(le)s font l'objet de réinsertion socioprofessionnelle
dans le meilleur des cas.
A l'instar de telle démarche, l'abolition de la *p é d o p h i l i e* prévoit
de développer une approche de prévention
concertée(2)
à l'égard des manoeuvres diverses, et des stratégies frauduleuses développées
par les criminels en puissance.
Ne négligeons pas
une observation essentielle et primordiale : ces criminels ne sont pas
seulement les trafiquants membres d'organisations occultes et fortement
organisées. Les mafieux sont le plus souvent connus par les parquets
judiciaires, mais se révèlent inattaquables à cause du manque apparent de
preuves.
Mais les plus
dangereux *p é d o p h i l e s* sont les maniaques isolés, pervers honteux pour
lesquels le premier passage à l'acte sera pour eux comme un jeu suicidaire de
"roulette russe".
En l'occurrence le problème par-devers l'enfant est
que l'acte non-abouti ne fasse l'objet de tentatives en tous sens pour en
dissimuler les conséquences probables, inéluctables à terme : recel de(s)
cadavre(s)
A cette démarche préventive et concertée d'abolition, il va de soi que les
enfants eux-mêmes doivent être pertinemment préparés le plus
précocement possible, et qu'ils soient conscients que leurs proches, tout
autant que leurs enseignants(3) et l'ensemble des
associations éducatives(4), y participent effectivement et
personnellement.
____________________________________________________________________________________________________
1
Peut-on abolir la prostitution?
http://www.doctissimo.fr/html/sexualite/mag_2002/mag0816/se_prostitution_abolition_itw.htm
2
http://fr.wikipedia.org/wiki/Prostitution
3
Grisélidis
Réal - avenir en parcelles - la vie en famille
http://venturographe.canalblog.com/archives/2006/10/28/3018967.html
4
A
la veille des JO - avenir à défricher
http://venturoscope.canalblog.com/archives/2007/03/29/3328027.html
>> PENSER
GLOBALEMENT - AGIR LOCALEMENT <<
Commentaires, Trackbacks:
MarieB14 [Membre]
Eradiquer la pédophilie ...Lourde bataille ...C'est tout un système qu'il
faut éduquer ..
On est dans du marchandage médiatique politique mais la base n'est pas résolue
...
On met très peu de moyen pour solutionner le problème ...Il n'y a pas de vaccin
contre ça ( remarque sur la bétise non plus)
Je travaille en pédo-psychiâtrie et je vis quotidiennement les outrages qu'on
subit les enfants ...
Malgrè tout je reste très vigilante avant l'affaire d'Outreau il y a eu bcp de
dérive...
Herostrate pro
http://transculturel.spaces.live.com/
Si je saisis bien ta réflexion, "avant l'affaire d'Outreau il y a eu
beaucoup de dérives.,
Laisses-tu entendre que depuis les dernières conclusions, judiciaires,
médiatiques et politiques (de cette affaire) il n'y aurait plus la moindre
dérive possible?
Pour un membre du personnel académique ou technique compétent, qui pourrait se
voir éventuellement citée à la barre en qualité d'expert, on pourrait te jauger
(ici et maintenant, fatalement "à l'emporte-pièce") un brin
désabusée, si ce n'est même tout-à-fait démotivée, n'est-il pas?
Est-ce donc aussi parce que tu ne serais, en cette occurrence-là "pas
mieux payée que femme d'ouvrage" comme on l'a entendu au Palais dans la
bouche d'un confrère?
Voudrais-tu bien me pardonner si je te paraissais quelque peu agressif.
MarieB14
Des dérives il y en aura toujours , l'affaire d'Outreau a permis un peu
d'éclaircir les états de faits ...
D'autres affaires viendront et ils se référenceront à cette affaire ...
Je suis allée à plusieurs colloques justement sur paroles d'enfants ...
Et tous sont unanimes , l'enfant ne ment jamais , (à la base) C'est l'adulte
qui induit sa parole et la détourne à sa sauce ...
Dans mon domaine je suis très vigilante sur les propos des enfants , il n'y a
pas que les mots qui sont importants mais tout un comportement et ce n'est pas
que sur un bilan que l'on défini si oui ou non l'enfant a subi ...Il faut des
mois parfois pour savoir ...
Mais en général dans 95% des cas il a été maltraité , cassé ...Et la réparation
plus elle est prise tard plus les séquelles sont importantes ...
Je ne suis pas femme d'ouvrage , je suis ni femme courage , je suis une femme
qui respecte les humains et j'essaye de comprendre et d'aider les enfants à se
reconstruire dans de bonnes conditions ...Je ne suis ni désabusée encore moins
démotivée ...Je suis pragmatique simplement ...
Parce que dans le regard des enfants je m'y retrouve un peu ...
Herostrate
Pour quelle raison? Je ne sais si l'idée de tenir dialogue à l'abri des
regards soit des "amis", soit de quiconque m'est venue premièrement à
moi, ou bien à "vous, Docteur".
[Je persiste avec le "tu" ici et maintenant, vu les circonstances]
Ma 1ere repartie était de l'indignation après les dénis de justice lors
d'Outreau-1ère mouture.
Tu m'as ensuite éclairé notamment sur les difficultés pour trouver le ton juste
dans une relation réellement "à égalité" biunivoque avec l'(les)
enfant(s) quand on en est à l'instruction judiciaire.
Laissons de côté ces questions prétoriennes (sur le tarif appliqué au
défrayement des frais d'expertise) et penchons-nous plus fondamentalement sur
les problèmes situés en amont par rapport aux litiges, et non dans le
"marais" du prétoire, entre plaintes et réfutations.
Il est hors de doute que l'enfant - comme quiconque à des âges plus avancés -
dit la vérité spontanément à la condition de parler sans crainte.
S'ajoute, pour les dits mineurs d'âge et en raison-même de ce statut, la
circonstance impérieuse qu'ils resteraient instrumentalisés par leurs parents
et,ou tuteurs quand bien même ils seraient (dits) "soient victimes",
"soient auteurs", soient qu'ils aient été - si peu que ce soit -
complices des faits (mais, à l'insu de leur plein gré) de ces faits
incontestablement humiliants par leur nature singulière, et a fortiori lorsque
ces faits sont décortiqués sur la place publique.
Mais pour la notion de "majorité sexuelle" (qui laisse présumer le
consentement) comment justifier un tel décalage entre le droit appliqué, par
exemple en Espagne: majeurs à 12 ans, et en Grèce: majeurs à 18 ans?
Cinquantitude:
Je n'entrave que dalle à ce concept d'abolition.
- S'agit-il d'un concept du genre "abolition de l'esclavage", mais
en le cas d'espèce, ce n'est pas parce qu'une loi interdira la pédophilie, que
celle ci cessera...
- Ou bien s'agit-il de l'abolition du concept de la pédophilie, un peu comme
les néos Nazis sont négationistes de l'existence des chambres à gaz...
Quid ?
Herostrate :
D'abord, laissez-moi dire que je suis relativement heureux et assez surpris
qu'il y ait quelques réponses -je dire pertinentes à mon article.
Je n'irai pas jusqu'à dire que je ne m'y attendais plus. Mais on m'a souvent
reproché - jusque dans la bouche DE MES ENFANTS comme on peut s'y attendre : de
ne pas être direct, de "couper les cheveux en quatre", bref : d'être
compliqué !
"Cinquantitude" : tes remarques sont d'autant plus pertinentes qu'elles
rejoignent les préoccupations actuelles des professionnels de la santé
publique.
En premier lieu, sachons "ce que parler veut dire" et le sens premier
des mots :
"ab-olir" signifie "couper la nouriture à", c'est-à-dire
faire en sorte qu'un phénomène quelconque cesse d'exister en l'empêchant de
s'alimenter.
En rapport direct avec le problème de la prostitution, il s'agit donc bien
de ne plus:
- ni interdire, car cela provoque la clandestinité (et la claustration des
prostituées)
- ni réglementer, car cela s'est révélé inefficace à cause de la compromission
notamment des fonctionnaires de police.
En France, on insiste bien - comme le relève l'un des deux textes auxquels
je fais référence en liens hypertextes ci-après - sur la nécessité pour les
prostitué(e)s de conserver leur indépendance, quitte à continuer la
prostitution dans un premier temps mais pour subsister, sans intervention de
dits "souteneur(s)".
En fait, le "plus-vieux-métier-du-monde" n'est pas officiellement
interdit à condition qu'il se pratique sans risque d'aliénation matérielle ou
physique.
Il s'agit alors d'une forme authentique de service d'escorte, pratiqué à titre
individuel dans le cadre de prestations reconnues et rémunérées.
Eh-bien, je n'ai pas été le premier pour la
réflexion qui suit:
- la pédophilie - considérée comme perversion dans le chef des auteurs avérés
d'actes criminels pédophiles - cesse d'être criminelle dès lors que les
conditions prioritaires d'âge et de consentement sont réunies;
- mais dès cet instant, la relation devient celle de prostitution : car le
consentement fait de la, ou du, jeune partenaire (autrement éventuelle
"victime") l'auteur en puissance d'un acte, appelons-le de
"stimulation passive", car le racolage reste prohibé.
Cinquantitude :
Bon, on est d'accord
Mais je reste persuadé que lorsque de tels faits de pédophilie sont avérés,
je veux dire qu'un enfant ait eu à subir des violences sexuelles
traumatisantes, non consenties, prodiguées par une personne qui profite de la
faiblesse de l'enfant? cette personne doit-être punie
sévèrement.
Ceci-dit, dans mon département il y a beaucoup de violence (non sexuelle) sur
les enfants, prodiguées par des parents pas mâtures. C'est de la lâcheté à
l'état pur.
Là aussi il devrait y avoir une sanction et une surveillance.
Nous avons eu à connaitre de tels faits de la part d'une mère sur ses filles de
4 ans et 2 ans. La grande, sur notre intervention a été endendue par la
gendarmerie.
La Dass a été prévenue. Ils sont venus 15 jours après, alors que les
écchymoses étaient disparues et ont constaté que tout allait bien!!! Forcément
la gendarmerie avait prévenu les parents, qui se sont "abstenus",
pendant 15 jours...
Maintenant ils recommencent de plus belle à coup de chaise dernièrement...
S'il n'y a pas complicité des institutions, du genre : après tout ce n'est
pas nos oignons, ou bien on ne veut pas d'emmerdes...
Voilà comment marche la société...
Ca me dégoûte. Si je n'avais pas charge de famille, je me chargerais bien de
jouer "Zorro", contre ces parents dégénérés...
Mais je ne peux me payer le luxe d'aller en taule, pour de semblables
"pourritures"...
Voici les deux liens hypertexte vers ces sites que je trouve assez
instructifs :
http://www.doctissimo.fr/html/sexualite/mag_2004/mag0305/se_7531_pedophile_prise_en_charge_itw.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Prostitution
Je voudrais ajouter ici que je ne vois qu'un rapport très éloigné de ces
problèmes - ici et maintenant, dans les rues, au quotidien - avec l'horreur que
m'inspire les désirs d'holocauste (néo)nazis et,ou la
perversité intrinsèque de racisme et de xénophobie.
MarieB14
Je ferai un commentaire un peu plus tard ...Je pars travailler ...Mais je suis surprise que peu de personnes viennent donner leur impression sur
ton billet ...
Comme quoi on est encore dans l'idée que ça ne peut arriver que chez les autres
...
A bientôt ne m'apelle pas "doc" stp Marie ...je préfère ..Je ne suis
pas au travail ici ...
Belle et douce journée ...
Herostate :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Courteline
Georges Courteline est un dramaturge dont le théâtre - comique de situation -
pratique l'humour de dérision et d'autocritique.
Il campe ses personnages le plus souvent soit dans les administrations (la Dass
?) soit dans l'Armée (les gendarmes ?)
Sans doute de nos jours les producteurs d'émissions tv ne lui donnent-ils plus
autant la cote, préoccupés sont-ils du financement marginal des programmes par
l'insertion des spots publicitaires.
Actuellement Bourvil et de Funès ne sont-ils pas ringuards, pour les jeunes des
cités!
Il reste parfois quelques humoristes encore en "one-man-show" pour
l'humour qui fait mouche, sain et ravageur; mais ils(elles)
sont rares.
Pourtant c'est d'une bonne dose de cela qu'il nous faudrait pour survivre à ce
que tu nommes lâcheté ou pourriture.
Cinquantitude :
Nous sommes d'accord. (Mais je te signale que je connais Courteline. Du
temps du noir et blanc, on avait souvent des pièces de théatre télévisées
pertinentes).
Herostrate :
Dans les blogs, il est relativement rare que la "foule anonyme" se
lâche et se livre à des règlements-de-comptes même virtuels.
Là c'est plutôt le cas du "direct" genre: mIRC, ICQ, ou bien des
salons de discussion - sans modération - comme parfois chez caramail.
Comme dans les rangs à la petite école: on craint toujours les coups de
baguette sur les doigts !
Ceci dit, je dois reconnaître que j'ai été contraint ici de filtrer les
commentaires, et de ne suivre que ceux auxquels je pouvais décemment donner
réponse.
Mais que veux-tu: mon éducation m'a laissé quelques tours d'esprit pas trop
moches - par exemple, AD AUGUSTA PER ANGUSTA
Cinquantitude :
Je me permets de m'immiscer dans ta discussion avec Marie, pour te dire que
sur mon blog c'est pareil. Combien de fois, me suis-je faché parce que dès
qu'on parle de SDF, de Darfour, des moeurs comportementaux
de la société ou de nos politiciens, c'est un silence assourdissant total. Ah,
il vaut mieux, et je le pratique souvent, parce que mon humeur est changeante,
faire une grosse vanne, qui provoque des commentaires et des sur-commentaires
et des sur-sur etc...
Mais j'ai remarqué que lorsqu' il n'y a pas de réponse, sur ces sujet
"tabous", j'ai des pics de "lecture", à tels point que j'ai
été affiché dans "blogs célèbres", par deux fois, dans les mêmes
circonstances. Mais je préfèrerais obtenir ça, avec des commentaires...
Ils ont peur, mais ils matent. S'ils pouvaient voter à bulletin secret et
transparent, ils le feraient (peut-être... quoique c'est peut-être encore trop
dangereux)...
Herostrate
Tes observations relatives au comportement de nos congénères internautes
sont réalistes; néanmoins elles ne me semblent pas désabusées !
Mes enfants et moi, ensemble ou séparément, nous avons commencé l'exploration
du cyberespace en 1996.
A ce moment en Belgique il n'y avait que trois opérateurs publics; le reste du
secteur était réservé aux dits professionnels, programmeurs et administrateurs
de réseaux que je nomme parfois "nouveaux plombiers" pour avoir pu -
notamment à titre officiel - en fréquenter quelques-uns d'assez près.!
Accessoirement cela m'a permis - dans ces circonstances inédites - d'affiner ma
vision sur les gens et les choses, comportements et rites sociaux.,
vision induite aussi par la lecture, et de Desmond Morris, et de Konrad Lorenz
(sur portail Éthologie)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Desmond_Morris
Desmond Morris
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89thologie
Éthologie
Mirette :
Eradiquer la pédophilie serait merveilleux mais je crains que ce ne soit
impossible, il y aura malheureusement toujours des dérives mais des lois plus
sévères et ne pas relacher les pédophile aussi vite seraient pas mal car
lorsqu'ils sortent de prison, ils n'ont pas été guérit et ils recommencent bien
vite.
Malgré tout je veux espérer que cela ira mieux et que la pédophilie un jour nr
sera plus qu'un mauvais souvenir car la vie des enfants qui en sont victimes
est marquée à jamais.
Herostrate :
Cet espoir, exprimé de la façon dont vous le faites, devrait se trouver partagé
par de plus nombreuses personnes !
Ce n'est malheureusement pas toujours le cas, à cause d'une psychopathologie
sociale que le personnel compétent - dont fait partie Marie qui s'est signalée
dans cette même conversation - aurait tendance à considérer comme "bêtise
ordinaire" (suivant le modèle, par exemple, de "racisme
ordinaire")
Ne me faites pas dire que vous êtes une "psychopathe sociale" !
Pour autant les gens dits normaux : socialisés, souffrent dans leur âme à
l'évocation de cette perversion qui n'est pas vraiment quelque chose
d'imaginable, ou de représentable, oserais-je dire : pour le commun des mortels.
A cet égard pour certains pervers - dont les pédophiles - on ne mesure pas
toujours à quel point la crainte d'une sanction pénale comme la prison ou même
la mort (quand cette peine était encore appliquée) ne constitue pas un
préalable suffisant pour les dissuader de commettre parfois l'irréparable.
Cela, au contraire des truands froids et bien organisés, qui étudient tous les
cas de figure avant leurs forfaits, jusqu'à envisager même une possibilité d'évasion
s'ils étaient pris.
Sans doute prendrez-vous le temps de lire encore le texte, sous lien
hypertexte qui suit:
http://venturoscope.canalblog.com/archives/2006/07/01/1171357.html
Humains, trop humains !
Merci pour votre intervention, et bien-sûr
pour vos recettes