Note à tout FANTOMAS anonyme
Ainsi qu'aux courageux "visiteurs anonymes"
Ce
blog et ses annexes, même dans la simple juxtaposition d'adresses
glanées sur le Net, se veut création personnelle, authentique et
originale.
Il ne s'agit pas du bloc-note poétique de quelque
croqueur de nuages, du journal intime de quelque adolescent boutonneux
ou encore, par une après-midi pluvieuse, des élucubrations vaseuses
d'un révolutionnaire de salon.
Après l'élimination récente de trois autres blogs chez deux différents hébergeurs, une mise au point s'impose.
"Homo sum : humani nihil a me alienum puto" (citation de Térence)
Je suis homme : rien d'humain ne peut m'être étranger.
Sans doute le ton est-il parfois ironique ou agressif, et le style offensif, voire impudique.
Mais
cela ne provient-il pas de la compassion qui devrait animer tout réel
défenseur "de la veuve et de l'orphelin" partout sur terre, et chez
tout internaute de quelque âge et de quelque condition que ce soit ?
En
particulier concernant une terreur amplement justifiée, quoique abusivement amplifiée: la pédophilie criminelle, le rappel suivant.
"Fausse sécurité, fausses peurs
"L'avis
de communauté peut laisser des quartiers entiers aux prises avec deux
impressions simultanées et paradoxalement concurrentes : un faux sens
de la sécurité et une diffusion artificielle de la terreur. La
publication d'une notification peut apaiser les craintes et inciter les
gens à croire que l'Etat maintient les contrevenants au-dehors,
laissant un voisinage détendu, alors même que les abuseurs venant
d'ailleurs ont la part belle à la recherche des victimes. D'un autre
côté, la couverture sensationnelle de presse et les discours politiques
inspirant la crainte peuvent s'associer pour artificiellement gonfler
les craintes et inciter les gens à croire que les monstres sont parmi
eux. Ni l'un ni l'autre de ces sentiments n'est particulièrement vrai.
Les étrangers qui commettent des crimes sexuels violents à répétition
sont heureusement rares. Quel que soit l'effet d'une notification
publique, tout peut se défaire à cause du surdimensionnement, et de la
méconnaissance des occasions de traitement." Extrait de Politique et incompétence